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Entrevue

Carmen Sylvestre n'a pas fini de surprendre à Sucré salé : « Je sors de mon confort »

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C'est avec bonheur que nous retrouvons, dans un tout nouveau rôle, la comédienne Carmen Sylvestre, devenue chroniqueuse le temps d'un été pour Sucré salé. Celle qui a brillé dans la quotidienne STAT, dans un rôle épisodique, endosse ainsi tout un défi, celui de mener des entrevues, cette fois avec de jeunes artistes.

Depuis le début de la saison, nous l'avons vu nouer des liens avec Léanne Désilets (La vie compliquée de Léa Olivier) et faire des Tik Toks avec Tom-Éliot, qui semblait d'ailleurs fort heureux de la rencontrer. Nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec la sympathique comédienne et chroniqueuse, en marge de ce nouveau mandat.

Sachez d'abord que le travail de Carmen Sylvestre se bonifiera au sein de la quotidienne estivale, puisqu'on lui a demandé de composer occasionnellement de petits mots pour certains artistes invités. Ce sera d'ailleurs le cas ce vendredi avec Benoît McGinnis, l'invité de la soirée, qui « peut tout faire », dans les mots de Carmen. À l'image de ce qu'elle avait proposé à Mélanie Maynard dans le premier épisode de la saison, Carmen pourra venir bonifier l'émission, de temps à autre, de ses interventions aussi charmantes qu'émouvantes.

Par ailleurs, celle-ci continuera à nous surprendre tout au long de la saison, en sortant de sa zone de confort pour mener des entrevues originales avec des artistes « Gen Z », comme elle les décrit.

Elle nous dit : « Ce qui me stressait au départ, c'est de faire l'entrevue, parce que c'est nouveau pour moi. La première, avec la jeune Léanne Désilets, c'est sûr qu'il y avait un petit peu d'appréhension. Je me suis préparée, j'ai lu sur elle, j'ai fait mes recherches aussi. On a une ligne à suivre quand même. Mais ç'a bien été, le contact s'est bien fait. »

« Ça me sort de mon confort, mais je découvre des choses », poursuit la principale intéressée en entrevue.

«  On est différents, pourtant on est les mêmes, mais si je suis ici, c'est pour apprendre. C'est parce que je me reconnais dans eux autres, parce qu'on était les mêmes quand on était jeunes. On veut, puis tout ça. Comme je dis, montrez-moi comment créer un pont pour unir toutes les générations. »

Ces mots, vous les retrouverez peut-être dans un rap, que Carmen Sylvestre était à préparer au moment de notre entretien, pour sa prochaine entrevue avec Thomas Delorme et Zachary Evrard, qui se sont eux-mêmes récemment lancés en musique. Ce rap est certainement le signe de la vitalité de la comédienne, mais aussi de son désir de bien faire pour les téléspectateurs, qui sont tombés sous son charme dans les dernières années.

« J'aime les gens, j'aime le monde », lance-t-elle, passionnée par ce nouveau défi qui pourrait lui ouvrir d'autres portes.

Disons que je me sens plus sûre qu'au début. J'ai toujours hâte de les rencontrer!

Parmi les autres chroniques prévues pour Carmen Sylvestre, nous la retrouverons notamment avec l'humoriste Michelle Desrochers, avec qui elle s'est trouvé plein de points en communs. Il est effectivement facile de voir la filiation entre les deux femmes, qui connecteront certainement lors de leur rencontre.

On verra aussi Carmen Sylvestre fouler le site d'Osheaga cet été, ce qui nous promet un moment savoureux. Il faudra toutefois être à l'écoute pour savoir qui sera en sa compagnie pour cette virée musicale.

« Il y en a de beaux jeunes. Il y en a beaucoup plus qu'on pense. De les découvrir et de les faire découvrir à un public de tout âge, ça m'allume dans un sens. Et ce qui m'allume, ça m'aide à me dépasser », conclut cette formidable dame, qu'on espère voir de plus en plus dans notre petit écran.

En 2025, nous retrouverons la comédienne dans la pièce de théâtre multigénérationnelle Cougar qui peut, qui devrait faire la tournée de plusieurs salles au Québec.