La première saison de la série Doute raisonnable bat son plein sur les ondes de Radio-Canada et les téléspectateurs sont au rendez-vous et captifs de l'intrigue haletante. Lisez nos impressions sur la série ici.
Dans celle-ci, on retrouve donc Julie Perreault dans la peau d'Alice Martin Sommer, une policière d'expérience qui est enrôlée dans le Groupe d’investigation sur les crimes à caractère sexuel (GICCS). Elle et ses collègues auront à résoudre différents cas durant la première saison et rien ne sera simple, tant les souvenirs peuvent s'entremêler dans les cas d'expériences traumatiques.
La première intrigue de la saison a été présentée sur trois épisodes. On y retrouvait l'excellente comédienne Karelle Tremblay, dans le rôle de Simona Clark, victime présumée d'une agression sexuelle. Alors que les versions contradictoires s'accumulaient, la jeune femme a été retrouvée morte et les soupçons de tous n'ont pas été complètement lavés. On comprend toutefois que la femme (Ève Landry) du fourbe homme d'affaires Jérémy Larose (Stéphane Gagnon) a eu son rôle à jouer dans le drame.
Plusieurs téléspectateurs ont mentionné sur les réseaux sociaux avoir trouvé cette finale d'enquête plutôt expéditive, alors que toutes les réponses n'avaient pas été données. Il faut toutefois savoir que cette enquête est loin d'être terminée et qu'elle se poursuivra dans les derniers épisodes de cette première saison.
La responsable des réseaux sociaux pour Aetios, Geneviève Cardin, le confirme d'ailleurs : « Elle n'est pas vraiment terminé non plus. C'est l'enquête phare de la série. Ce soir, on amorce un nouveau dossier, tout simplement. À suivre... »
En effet, un cas qui se présentera au 8e épisode, celui d’une jeune inconnue retrouvée morte vraisemblablement à la suite d'une agression sexuelle, sera relié à celui de Simona Clark. Jérémy Larose et compagnie feront donc un retour dans l'intrigue.
À l'image des enquêtes réelles sur des crimes sexuels, la série Doute raisonnable n'offre pas toutes les réponses rapidement, et c'est bien ainsi. On offre donc aux téléspectateurs matière à réflexion.