Publicité
Télé

Sébastien Delorme aborde la vague d'amour incroyable reçue après sa sortie de District 31

District 31

Cette semaine, nous avons eu la chance de nous entretenir avec Sébastien Delorme, dans la foulée de sa sortie émotive de la quotidienne District 31. Lisez ce qu'il avait à nous dire ici.

Dans cet entretien sympathique, celui-ci a abordé la vague d'amour incroyable reçue au moment où la mort de son personnage a été confirmée. Bien que District 31 soit très populaire, le comédien ne s'attendait pas à l'émotivité générée par ce revirement de situation.

Il indique : « Je ne m’attendais pas à ça. Je savais que la série marchait, mais vraiment. Les gens m’abordaient et m’appelaient Poupou. Mais là, la différence, c’est que je reçois des messages et pour la plupart, il y a quelque chose d’émotif dans le message. Ce n’est pas juste comme quand tu reçois une statuette, que tu reçois des applaudissements. Cette fois-ci, les messages que je reçois, c’est l’attachement et le fait que je vais leur manquer. Il y a le côté émotif, humain. »

Il ajoute : « C’est des gens de partout au fil de ma vie qui m’écrivent, des professeurs de théâtre, des metteurs en scène avec qui j’ai travaillé, d’anciens amis du primaire, des collègues comédiens, des personnes que je ne connais pas, du monde que j’ai côtoyé dans l’univers du vélo. Ça a ratissé large, c’est fou, fou! »

Le comédien a eu besoin de faire la paix avec la fin de ce projet, avant d'accueillir tous ces commentaires du public : « C’est important de partir en paix d’abord, avant de recevoir ça. J’avais besoin d’être serein par rapport à ça. Là vraiment, ces mots-là viennent juste me dire "Sébastien, tu as bien travaillé, tu as bien fait ta job, tu peux clore le dossier maintenant et passer à autre chose". »

Alors qu'on pourrait attribuer tout cet amour à l'interprétation inspirée du comédien, celui-ci a une autre hypothèse : « Il est arrivé quelque chose, une pandémie. Les gens, la seule chose qu’ils avaient à faire parce qu’on était tous pogné chez nous, c’était de regarder la télévision. Pendant tous les mois de confinement, une des émissions vers laquelle ils se tournaient, c’était District 31. C’était le rendez-vous quotidien de plein de monde, qui se sont fait raconter des histoires qui leur changeaient du quotidien, de la Covid. District 31 est devenu un refuge pour tout le monde, pour se changer les idées. »

Notons que la suite ne s'annonce pas rose dans District 31, si l'on se fie à cette publication de la production.