Cette année, il y a eu bien des changements au concept de La voix. Notamment, lors de la demi-finale et de la finale, c'est un public composé de 101 personnes qui ont voté pour déterminer les gagnants des différentes étapes.
La productrice Emilie Fournier nous explique qui sont ces gens, qui ont eu le sort des candidats entre leurs mains.
« On aimait aussi l'idée d'avoir un jury qui est impartial. C'est pas juste parce que la personne vient de ta ville natale que tu vas voter pour lui ou pour elle. C'est vraiment des yeux et des oreilles. Puis, on a fait des vérifications avec Public Cible pour trouver vraiment 101 personnes qui représentent le plus possible la population canadienne. Donc, que ce soit leurs origines, les âges, etc. »
Elle ajoute : « Il n'y avait pas d'attachement à aucun coach. Donc, on s'est assurés qu'ils n'étaient pas membres de fan clubs des coachs. Ils ne connaissent pas les candidats, les candidates. Donc, de cette façon-là, on essaie d'avoir, en fait, le pouls de comment vraiment, à la maison, les gens se sentent. »
Aussi, le fait que les votants n'aient jamais vu les candidats performer auparavant était un avantage. « Les shows les plus forts et les plus attendus, c'est toujours les Auditions à l'aveugle : ces fameux fauteuils rouges, comment ça résonne chez les coachs et tout ça. Il y avait donc un sentiment de cohésion qui était vraiment fort dans cette proposition-là. »
La productrice a aussi commenté l'avis des fans, pas toujours positifs, face à ces changements. Lisez le tout ici.